366 et cætera

Pour tailler dedans, Raymond ?

T'as vraiment des manières d'écorcheur...

Prends la langue française, t'auras de quoi faire !

... que j'ai entrevue dans le coin en haut à droite de mon écran.

Enfin... une vache, tu la joues petit bras, Raymond !

(ou c'est Emilie que tu traites de vache ?)

Traites de vache, elle est pas bonne celle-là Raymond ?

Merde, treize ans déjà...

ra, Raymond, tombera !

Il sera 21h58, mais je me demande bien ce que tu vas pouvoir faire de ce renseignement, le Ramadan est déjà terminé...

Tu retardes, là, Raymond !

Ça fait un moment que j'ai fini mon service militaire.

Je ne suis même plus rappelable, alors, les permissions, hein !

J'te vois venir Raymond, avec tes gros sabots !

Mais je ne dirai pas "Cul"...

C'est plus d'mon âge, enfin !

... ce qu'elle a toujours été, Raymond : une emmerdeuse !

Qui ?

Ben c'est toi qu'as dit "elle", débrouille-toi avec maintenant !

de lecture, Raymond ?

J'en aurais parfois bien besoin...

Surtout avec tes sujets à la mords-moi le nœud.

Alors ? Anglaises, à gaz, de sol, de fa, d'ut, de chiffrage, Allen (tu savais toi que les Flamands disent "inbussleutel"?), du succès, de porte de derrière...

Et encore, on n'a même pas parlé des clefs ! Y a de quoi faire !

... tout beau ! (Y avait quelque chose à gagner ?)

Nouveau balai balaie bien.

Et tout ce genre de choses, Raymond !

C'est comme quand on commence un nouveau jeu : on est plein d'enthousiasme.

Mais avec le temps, il commence à y avoir un peu de rebrousse-poil si tu vois ce que je veux dire...

Que veux-tu, mon pauvre vieux, ce doit être passé de mode !

Maintenant, si tu comptes sur moi pour entamer une ère de reconnaissance à ton égard...

Tu te fourres le doigt dans l'œil, Raymond !

Sérieux, Raymond ?

Je l'avais jamais remarqué dis donc !

Mais qu'est-ce que je ferais sans toi...