366 et cætera

Eh oui, c'est comme ça aujourd'hui, Raymond : tout, tout de suite !

Mais bon, faut bien vivre avec son temps, la procrastination, ça fait ringard.

Je t'en dirai plus demain...

Tu deviens presque philosophe alors Raymond !

Tu le seras vraiment lorsque tu auras compris que tout ça est une vaste blague.

... un blog, quoi.

, voilà la question, Raymond !

C'est ton petit côté danois qui te travaille ?

Étant toujours aussi Belge qu'hier, je suis pour le compromis...

C'est la Belgique ici, Raymond, on ne défile pas le quatorze juillet !

Sauf peut-être les Lîdjeux, mais bon, ils mangent aussi des boulets sauce lapin, alors...

Ben oui, Raymond, c'est de là que sortent les fourmis !

T'as parfois le cortex endormi tu sais...

Banalité japonaise, Raymond ! Là-bas chaque jour en apporte la preuve.

Ils craignent même pour bientôt un séisme de première grandeur avec tsunami dévastateur.

Mais restons zen...

Forcément que j'ai les pieds sur terre Raymond !

Autrement, comment j'aurais des fourmis dans les jambes, hein ?

Celle-ci, Raymond, c'est de loin la plus facile de toute la série :

Comment diable suis-je parvenu dans cette galère ?

... et ne me réponds pas "Tais-toi et rame !"

J'allais t'établir celle, exhaustive, de mes imperfections Raymond...

Mais y a pas la place, tu penses : cent mots, une misère !

Tu t'en prends aux ROM, aujourd'hui, Raymond ?

Côté front, tu serais pas un peu national des fois ?