366 et cætera

Pas comme ça, d'accord, mais comment alors, Raymond ?

T'as vu l'étendue du champ des possibles que ça nous laisse ?

Je me demande si on a beaucoup progressé !

Mon pauvre Raymond, tu te goures d'époque et de pays !

Ici, ça fait une paye qu'il n'y a plus de chèques...

Ou alors, ils sont certifiés, alors pour le bois, tu repasseras !

Parce que si c'était simple, ce ne serait pas toi, Raymond !

À question idiote, réponse idiote...

continue à tourner, Raymond, sur elle-même et autour du soleil, d'un mouvement régulier !

Enfin, pour ceux qui ne croient pas que c'est l'inverse et bien sûr en tenant compte dans ce mouvement des précessions et autres nutations.

Mais je suppose que tu t'en fous !

Ça tombe bien, moi aussi.

À l'époque actuelle, t'aurais plus de chance avec "plastique", Raymond !

Sinon, tu passes pour une cloche...

... comme à presque chaque fois que je passe devant sa somptueuse résidence (et je le fais plusieurs fois par jour) fera fonctionner son feu rouge, rien que pour m'emmerder, je suppose.

Depuis le temps qu'il me fait le coup, je commence à comprendre votre tendance à raccourcir les vôtres.

Tu vois ce que ça fait quand on t'oublie, Raymond ?

C'est la faute au chien et à la Toussaint, mais j'ai pas la place pour t'expliquer avec tes restrictions !

Allez, à plus !

Bon, je vais donc manger du chocolat, Raymond !

C'est gentil de me donner congé, Raymond.

Merci !

Eh oui, Raymond, tout a une première fois !

Et sans doute même une dernière...

Ça m'étonne que tu ne réserves pas ce cas pour demain.

Mais c'est vrai que c'est pas la première fois que tu m'étonnes...