366 et cætera

Sans laisser d'adresse, Raymond ?

Comment ?

Politique !?!

Zut, tu m'as fait une fausse joie là !

C'est gentil de me laisser le choix, Raymond, mais c'est quand même cornélien.

Auquel de mes cinq sens vais-je bien pouvoir renoncer ?

Je crois que je vais m'autoriser un moment de réflexion...

Comme tu y vas, Raymond !

On voit bien que tu n'as pas connu les zélateurs du durable !

Aujourd'hui, on recycle tout, même les réels à prise rapide, c'est te dire...

, que dis-je, pointer d'un doigt accusateur, celui qui a inventé les anniversaires !

Ce serait pas toi par hasard, Raymond ?

... de connerie.

J'essaierai d'y penser, Raymond !

Mais ça risque d'être dur me connaissant...

semblant d'être inspiré pour que tu ne te doutes de rien, Raymond.

Je croise les doigts pour que tu n'y voies que du feu...

Un, Raymond ?

À notre époque, tous les objets sont essentiels !

D'après la pub en tout cas.

ou pas, Raymond...

Et aujourd'hui, c'est pas : pas l'ombre d'un rayon de soleil.

Alors qu'avant-hier, t'aurais dû voir ça !

Ça m'étonnerait, Raymond, c'est le 14 que je reçois ma pension !

Bien vrai, Raymond, c'est comme ça que tu t'amuses !

Je n'en dirais pas autant pour moi.

Mais ce qui est dit est dit, n'est-ce pas ?